Assistante sociale, Sophie* recommande souvent La Fontanelle. Elle nous dit ici pourquoi.
L’image qui me vient à l’évocation de la Fontanelle est celle d’un cocon, d’une bulle. Le mot qui m’apparait est sécurité ou rythme de vie.
La prise en charge est plus globale, plus constructive que dans d’autres foyers. Il y a un encadrement, des règles établies, un rythme de vie, avec des consignes explicites et bien précises. On ne répond pas aux jeunes seulement en fonction de leurs besoins ou de leurs envies. On tient compte du cadre, en disant : « à cette demande on peut accéder, à celle-là on ne peut pas. »
Le placement à La Fontanelle est la plupart du temps motivé par la nécessité de mettre le ou la jeune à distance de son lieu de domicile et par le besoin de lui donner un cadre plus strict lui offrant plus de sécurité.
La non-mixité des foyers de La Fontanelle n’a pas fait partie des critères de choix, mais dans certaines situations, je peux imaginer que les jeunes présentant des comportements sexuels à risques ont trouvé dans la non-mixité un espace pour se repositionner dans leurs vrais besoins. Pour des filles notamment, qui auraient été confrontées à des situations de délinquances mélangées à des violences sexuelles, je préférerais un foyer pour filles uniquement.
La localisation des foyers en moyenne montagne est clairement un avantage à mes yeux. Il y a l’air de la montagne, où on respire, on a plus le temps de se poser, c’est beaucoup plus calme, il n’y a pas les attractions d’un canton-ville, c’est plus compliqué pour fuguer. Je n’y vois aucun inconvénient.
Lorsque le placement est demandé par les parents, ils souhaitent souvent un foyer hors canton, car ils cherchent un lieu sécure, hors de la foule, qui permette une coupure avec les relations de leur enfant, et un lieu aussi où les téléphones portables cessent d’être une obsession 24h/24. Surtout, ils veulent éviter que les comportements de leur adolescent ou adolescente deviennent irréversibles.
Sachez que je recommande souvent La Fontanelle, car j’y vois une opportunité pour les jeunes de se reconnecter à des choses importantes de la vie qu’ils et elles ont souvent perdu de vue, et vont pouvoir se reconcentrer sur une formation.. Les foyers du canton ville dans lequel je travaille n’offrent pas de réelle coupure même s’ils sont situés à la campagne. En termes de sécurité et de réglementation, c’est clair et précis pour les jeunes. Les professionnel·le·s ne vont pas accéder aux demandes incongrues. À La Fontanelle, les choses sont claires et les jeunes savent à quoi s’attendre. En tant que service placeur, je me sens en sécurité en plaçant un jeune à La Fontanelle. Je vous fais entièrement confiance.
L’image qui me vient à l’évocation de la Fontanelle est celle d’un cocon, d’une bulle. Le mot qui m’apparait est sécurité ou rythme de vie.
La prise en charge est plus globale, plus constructive que dans d’autres foyers. Il y a un encadrement, des règles établies, un rythme de vie, avec des consignes explicites et bien précises. On ne répond pas aux jeunes seulement en fonction de leurs besoins ou de leurs envies. On tient compte du cadre, en disant : « à cette demande on peut accéder, à celle-là on ne peut pas. »
Le placement à La Fontanelle est la plupart du temps motivé par la nécessité de mettre le ou la jeune à distance de son lieu de domicile et par le besoin de lui donner un cadre plus strict lui offrant plus de sécurité.
La non-mixité des foyers de La Fontanelle n’a pas fait partie des critères de choix, mais dans certaines situations, je peux imaginer que les jeunes présentant des comportements sexuels à risques ont trouvé dans la non-mixité un espace pour se repositionner dans leurs vrais besoins. Pour des filles notamment, qui auraient été confrontées à des situations de délinquances mélangées à des violences sexuelles, je préférerais un foyer pour filles uniquement.
La localisation des foyers en moyenne montagne est clairement un avantage à mes yeux. Il y a l’air de la montagne, où on respire, on a plus le temps de se poser, c’est beaucoup plus calme, il n’y a pas les attractions d’un canton-ville, c’est plus compliqué pour fuguer. Je n’y vois aucun inconvénient.
Lorsque le placement est demandé par les parents, ils souhaitent souvent un foyer hors canton, car ils cherchent un lieu sécure, hors de la foule, qui permette une coupure avec les relations de leur enfant, et un lieu aussi où les téléphones portables cessent d’être une obsession 24h/24. Surtout, ils veulent éviter que les comportements de leur adolescent ou adolescente deviennent irréversibles.
Sachez que je recommande souvent La Fontanelle, car j’y vois une opportunité pour les jeunes de se reconnecter à des choses importantes de la vie qu’ils et elles ont souvent perdu de vue, et vont pouvoir se reconcentrer sur une formation.. Les foyers du canton ville dans lequel je travaille n’offrent pas de réelle coupure même s’ils sont situés à la campagne. En termes de sécurité et de réglementation, c’est clair et précis pour les jeunes. Les professionnel·le·s ne vont pas accéder aux demandes incongrues. À La Fontanelle, les choses sont claires et les jeunes savent à quoi s’attendre. En tant que service placeur, je me sens en sécurité en plaçant un jeune à La Fontanelle. Je vous fais entièrement confiance.
Propos recueillis par Anne-Marie Cajeux
*prénom d'emprunt
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