Quelle image ou quel mot te vient à l’esprit à l’évocation de La Fontanelle ? Sécurité.
De quelle façon ton placement a-t-il influencé le cours de ta vie ?
Le placement m’a permis de trouver la sécurité dont j’avais besoin à cette période. Mes parents n’arrivaient pas ou ne pouvaient pas m’en donner. Cela m’a permis d’avancer dans un cadre sécurisant. Mais cela a aussi eu un impact négatif parfois au niveau professionnel. Je n’ai pas eu accès à certaines places.
Te souviens-tu d’une activité qui t’avait particulièrement plu et pourquoi l’aimais-tu ?
J’aimais bien les activités d’une manière générale. Les activités des WE et des camps, l’escalade, l’équitation, l’atelier créatif et le jardin. Les activités sportives parce que cela me faisait du bien, le jardin me rappelait que j’en faisais avec mes grands-parents et c’était de bons souvenirs.
Y a-t-il une pièce ou un lieu dans le foyer que tu aimais particulièrement et pourquoi ?
la salle télé qui était tout en-haut, c’était un lieu cosi et chaleureux où j’aimais bien être même si je ne regardais pas la télé. Nous discutions bien entre filles aussi là-haut.
Le foyer n’accueille que des filles. Avec le recul, peux-tu donner un avantage et un inconvénient lié à cette particularité ?
Les inconvénients, ce sont les disputes mais ce serait aussi les aventures sexuelles qu’il y aurait, car il y en aurait.
L’avantage c’est qu’on se soutient mutuellement et qu’on est un groupe soudé.
Raconte un souvenir fort de la période passée au foyer
Les camps.
Quelle était ta relation avec ta famille au moment du placement et comment a-t-elle évolué ?
Très tendue. C’est toujours le cas avec ma mère mais maintenant, je sais comment le prendre et comment faire pour que la relation ne soit pas explosive.
Quelle image ou quel mot te vient à l’esprit lorsque tu penses à ta famille ou tes parents ?
Compliqué.
Ton placement a-t-il eu une influence sur ce que tu es devenue aujourd’hui ?
Oui, je crois que oui, j’ai pu bénéficier de la sécurité dont j’avais besoin à ce moment. Je n’étais pas une délinquante mais le manque de sécurité me faisait faire des conneries (fumer, sortir,…). Une fois la sécurité retrouvée, j’ai pu avancer.
*Prénom fictif
De quelle façon ton placement a-t-il influencé le cours de ta vie ?
Le placement m’a permis de trouver la sécurité dont j’avais besoin à cette période. Mes parents n’arrivaient pas ou ne pouvaient pas m’en donner. Cela m’a permis d’avancer dans un cadre sécurisant. Mais cela a aussi eu un impact négatif parfois au niveau professionnel. Je n’ai pas eu accès à certaines places.
Te souviens-tu d’une activité qui t’avait particulièrement plu et pourquoi l’aimais-tu ?
J’aimais bien les activités d’une manière générale. Les activités des WE et des camps, l’escalade, l’équitation, l’atelier créatif et le jardin. Les activités sportives parce que cela me faisait du bien, le jardin me rappelait que j’en faisais avec mes grands-parents et c’était de bons souvenirs.
Y a-t-il une pièce ou un lieu dans le foyer que tu aimais particulièrement et pourquoi ?
la salle télé qui était tout en-haut, c’était un lieu cosi et chaleureux où j’aimais bien être même si je ne regardais pas la télé. Nous discutions bien entre filles aussi là-haut.
Le foyer n’accueille que des filles. Avec le recul, peux-tu donner un avantage et un inconvénient lié à cette particularité ?
Les inconvénients, ce sont les disputes mais ce serait aussi les aventures sexuelles qu’il y aurait, car il y en aurait.
L’avantage c’est qu’on se soutient mutuellement et qu’on est un groupe soudé.
Raconte un souvenir fort de la période passée au foyer
Les camps.
Quelle était ta relation avec ta famille au moment du placement et comment a-t-elle évolué ?
Très tendue. C’est toujours le cas avec ma mère mais maintenant, je sais comment le prendre et comment faire pour que la relation ne soit pas explosive.
Quelle image ou quel mot te vient à l’esprit lorsque tu penses à ta famille ou tes parents ?
Compliqué.
Ton placement a-t-il eu une influence sur ce que tu es devenue aujourd’hui ?
Oui, je crois que oui, j’ai pu bénéficier de la sécurité dont j’avais besoin à ce moment. Je n’étais pas une délinquante mais le manque de sécurité me faisait faire des conneries (fumer, sortir,…). Une fois la sécurité retrouvée, j’ai pu avancer.
*Prénom fictif